Logan se perd dans un océan vert, parsemé de fleurs et d’herbes folles, qui ondule avec la légère brise. Ca fait comme des vagues sur les prairies douces d’Anthos. Il a décidé de venir ici, avec son panier rempli de douceurs qu’il compte bien déguster auprès d’un de ces cours d’eau qui quadrille l’île, assis sur le tapis herbeux doux et riche. Il aime ces moments de solitude apaisants, il s’occupe avec un livre, un tricot ou simplement avec le paysage qui l’entoure. Et même s’il apprécie particulièrement Cressand et ses plages somptueuses, l’écossais en lui ne peut échapper à l’appel des pâtures. D’ailleurs, il ne manque plus que les moutons, ici !
Les prairies sont calmes, aujourd’hui. Il arrive que, certains jours, un grand nombre de voyageurs viennent passer du bon temps sur cette Robinsonne calme et qui appelle tant au pique-nique ! Logan savoure d’autant plus son idée et s’assoit finalement auprès d’un petit ruisseau dont le chant apporte d’autant plus à la magie des lieux. Il sort les sandwichs qu’il a créé plus par habitude que par goût, car à part la viande humaine, pas grand-chose ne peut le satisfaire gustativement. Une fois qu’il a englouti le premier, il se met à tricoter les chaussettes qu’il prépare pour quiconque les voudra. Il est comme ça Logan.
Au bout d’un temps, il fait une petite pause pour observer les environs, se perd dans les nuages, essaie de donner une forme concrète à leurs convolutions abscongues. Son inattention l’empêche de voir le gros insecte qui s’approche de son sandwich, et alors qu’il tente de l’attraper, l’espèce d’abeille jaune fluo le pique sur le bout du doigt. Et Logan sursaute et crie, il se lève et secoue sa main : la douleur est lancinante et il panique. Il se rue vers le petit cours d’eau pour y plonger la main, souhaitant apaiser la brûlure intense de la piqûre qu’il a reçu. Il hyperventile et serre les dents alors qu’il voit son index doubler de volume : il va mourir, c’est sûr.
Bon il va se réveiller d’ici dix minutes à l’arbre des pendus surtout. Mais cela n’empêche qu’il n’est jamais mort encore. Et la mort, ça fait très très peur à Logan…
Les prairies sont calmes, aujourd’hui. Il arrive que, certains jours, un grand nombre de voyageurs viennent passer du bon temps sur cette Robinsonne calme et qui appelle tant au pique-nique ! Logan savoure d’autant plus son idée et s’assoit finalement auprès d’un petit ruisseau dont le chant apporte d’autant plus à la magie des lieux. Il sort les sandwichs qu’il a créé plus par habitude que par goût, car à part la viande humaine, pas grand-chose ne peut le satisfaire gustativement. Une fois qu’il a englouti le premier, il se met à tricoter les chaussettes qu’il prépare pour quiconque les voudra. Il est comme ça Logan.
Au bout d’un temps, il fait une petite pause pour observer les environs, se perd dans les nuages, essaie de donner une forme concrète à leurs convolutions abscongues. Son inattention l’empêche de voir le gros insecte qui s’approche de son sandwich, et alors qu’il tente de l’attraper, l’espèce d’abeille jaune fluo le pique sur le bout du doigt. Et Logan sursaute et crie, il se lève et secoue sa main : la douleur est lancinante et il panique. Il se rue vers le petit cours d’eau pour y plonger la main, souhaitant apaiser la brûlure intense de la piqûre qu’il a reçu. Il hyperventile et serre les dents alors qu’il voit son index doubler de volume : il va mourir, c’est sûr.
Bon il va se réveiller d’ici dix minutes à l’arbre des pendus surtout. Mais cela n’empêche qu’il n’est jamais mort encore. Et la mort, ça fait très très peur à Logan…